Marc organise, avec sa femme, des séminaires de psychothérapie, tout en rêvant d’un hypothétique voyage en Afrique. La tranquillité du baba-cool est bousculée par l’arrivée de Marlène, son ex, accompagnée de truands. Marc conservera-t-il son attitude pacifique ?
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À savoir
- Philippe de Broca : « Je tiens beaucoup à alterner les genres. Après Tendre poulet qui était une comédie policière, j’avais réalisé Le Cavaleur qui était plus personnel, puis On a volé la cuisse de Jupiter qui était un film d’aventures… disons comiques. J’avais envie de me renouveler, d’où Psy, cette histoire qui se passe dans une maison où des gens viennent chercher une solution à leurs problèmes psychologiques. En même temps, je me fichais complètement de l’aspect anecdotique du milieu psy. Ce qui m’amusait, c’était de prendre des gens qui se rencontrent dans une maison, remuer le tout et voir ce qui arrive. » (Philippe de Broca, éditions Henri Veyrier, 1990)
- Patrick Dewaere, qui vient de tourner Série noire d’Alain Corneau et Un mauvais fils de Claude Sautet, est un choix auquel Philippe de Broca tenait. « Je voulais connaître de nouvelles têtes et tourner avec Dewaere, c’était déjà un peu abandonner ma « bande de quinquagénaires », explique-t-il. « J‘avais vu presque tout ce que Patrick Dewaere avait tourné et je trouvais que c’était un comédien remarquable. » (Philippe de Broca, éditions Henri Veyrier, 1990)
- « Elle va faire parler d’elle », dit de Broca à l’époque à propos de Catherine Frot qui fait quasiment ici ses débuts au cinéma. Il la dirigera à nouveau dans Vipère au poing en 2004.
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