Dans le nouveau numéro du magazine Positif, un long dossier est consacré au rire au cinéma. Et l’on trouve un article de trois pages sur Philippe de Broca, signé Jean-Dominique Nuttens : « Un film de Philippe de Broca, comme une aventure de Tintin, c’est d’abord un rythme. On y court, on y roule, on y vole. Les personnages ne s’arrêtent jamais. Ils se promènent sur les toits de Paris, fuyant les maris jaloux et pénétrant dans les chambres dans bourgeoises esseulées (Le Farceur, 1960), ils volent à l’envers à l’endroit ou l’envers, escaladent des immeubles en construction (L’Homme de Rio, 1964)…. »